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qu’elle écrivait à Flaubert : « Tu rends plus tristes les gens qui te lisent ; moi je voudrais les rendre moins malheureux. » Elle le voulait : elle y a souvent réussi. Quel plus complet éloge en pourrait-on faire ? Et comment ne pas mêler à notre admiration une nuance de gratitude et de tendresse pour celle qui fut la bonne fée du roman contemporain ?
Janvier-mars 1909.