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X.
ONZALVE était entré dans le rapide
du Sault St. Louis. Son léger canot ne
voguait plus, il n’allait que par bonds.
Il ne pouvait plus le conduire ; sa seule
ressource était de pouvoir le tenir en
équilibre. L’eau entrait par torrent.
Craignant avec raison qu’elle s’élevât
assez pour suffoquer les deux victimes
qui gisaient à ses pieds et dont la respiration
était à peine articulée ; il souleva
leurs têtes et les appuya sur des
vêtements qui flottaient au fond du
canot. En les soulevant il s’aperçut
que l’un d’eux avait cessé de vivre.
L’autre luttait encore contre les dernières
aspirations de la vie. Tout à
coup le canot touche, glisse… glisse