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Page:Doutre - Les fiancés de 1812, 1844.djvu/309

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demain à l’aurore. O ! oui je te reverrai ! Peut-être pour la dernière fois ! Mais mon âme sera heureuse de n’avoir pas trahi l’innocence de ses serments, et de s’envoler sous les yeux du plus beau des mortels.

Adieu, Gonzalve, au revoir !

Louise

le 5 Mai 1814.



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