Page:Doyle - Du mystérieux au tragique.djvu/112

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fait, mes amis, ce que personne n’avait jamais fait encore !

— Eh bien, dit Harvey Deacon, autant que je pourrai l’empêcher, cela ne se refera pas, je vous l’assure !

Et voilà ce qui advint, le 14 avril dernier, au no 17 de Badderly Gardens. J’ai commencé par dire que cela me paraît trop grotesque pour que je réponde de ce qui vraiment se passa. Je donne mes impressions — ou plutôt nos impressions, puisqu’elles sont corroborées par Harvey Deacon et John Moir, — pour ce qu’elles valent. Libre à vous, s’il vous plaît, d’imaginer que nous fûmes victimes d’une extraordinaire et savante mystification ; ou de croire avec nous que nous subîmes une réelle et terrifiante épreuve. Peut-être encore mieux informé que nous en ces questions d’occultisme, aurez-vous à nous citer quelque chose d’analogue. En ce cas, une lettre adressée à M. William Markham, 146 M., l’Albany, nous aiderait à jeter un peu de lumière sur des faits encore très obscurs pour nous.