Page:Doyle - Le Ciel empoisonné.djvu/52

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l’indique… Dans un ou deux jours au plus tard… Que voulez-vous que j’y fasse ?… Très désagréable, mais je présume que parmi les personnes atteintes il y en aura de plus importantes que vous… Non, impossible… Il faut que vous couriez votre chance, voilà tout, monsieur !… Sottises ! j’ai mieux à faire que d’écouter vos sornettes ! »

Il raccrocha les récepteurs d’un coup sec et nous fit monter dans une pièce spacieuse, baignée d’air et de lumière, qui lui servait de cabinet de travail. Sur le grand bureau d’acajou, sept ou huit télégrammes encore fermés attendaient qu’il en prît connaissance.

« Décidément, fit-il en les attirant à lui, je crois que j’économiserais des frais à mes correspondants en adoptant une adresse télégraphique : Noé, Rotherfield, serait peut-être de circonstance. »

Comme d’habitude quand il faisait une