Page:Doyle - Le Ciel empoisonné.djvu/66

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tranquille. Je ressentis et dominai de même l’impérieux désir de pousser des couacs comme un canard. Lorsque, plus tard, je sortis pour donner des ordres à Austin, le trouvant penché sur sa machine et absorbé dans un travail de réparation, j’arrêtai ma main déjà levée sur lui, je m’abstins d’un geste qui peut-être lui aurait fait prendre le même chemin qu’à la gouvernante ; et, le touchant à l’épaule, je lui commandai d’aller vous chercher à temps pour le déjeuner. Voici qu’à cette minute même j’ai une furieuse démangeaison de prendre le professeur Summerlee par son absurde vieille barbiche et de lui secouer violemment la tête ; pourtant, vous le voyez, je me retiens. Laissez-moi vous proposer mon exemple.

— Que j’appliquerai à mon histoire de buffle, dit lord John.

— Et moi, à mon histoire de football, complétai-je.