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nouveaux mystères et aventures

vécu parmi les Hindous, et que vous vous trouviez brusquement transplanté chez un Anglais. Venez dans la serre, nous jetterons un coup d’œil sur les fleurs.

Nous allâmes ensemble dans la serre chaude.

À notre retour, le panier était resté suspendu à la branche, mais son contenu avait disparu.

Elle le reprit en riant et le rapporta à la maison.

Il me parut que depuis cette entrevue de la veille avec son compatriote, elle avait l’esprit plus gai, le pas plus libre, plus élastique.

C’était peut-être une illusion, mais il me sembla aussi qu’elle avait l’air moins contrainte qu’à l’ordinaire en présence de Copperthorne, qu’elle supportait ses regards avec moins de crainte, et était moins sous l’influence de sa volonté.

Et maintenant j’en viens à la partie de mon récit où j’ai à dire comment j’arrivai à pénétrer les relations qui existaient entre ces deux étranges créatures, comment j’appris la terrible vérité au sujet de miss Warrender, ou de la Princesse Achmet Genghis ; j’aime mieux la désigner ainsi, car elle tenait assurément plus de ce redoutable et fanatique guerrier, que de sa mère, si douce.

Cette révélation fut pour moi un coup violent, dont je n’oublierai jamais l’effet.