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nouveaux mystères et aventures

tournai doucement la clef dans la serrure de la porte d’entrée.

Une fois dehors, je traversai à grands pas la pelouse, pour gagner les massifs, reprendre mon bien et revenir aussi promptement que possible.

J’avais à peine franchi la petite grille de bois, et j’étais à peine entré dans le jardin que j’entendis un bruit de voix.

Je me doutai bien que j’étais tombé sur une de ces entrevues nocturnes que j’avais remarquées de ma fenêtre.

Ces voix étaient celles du secrétaire et de la gouvernante, et il était évident pour moi, d’après la direction d’où elles venaient, qu’ils étaient assis dans l’abri, et qu’ils causaient sans se douter le moins du monde qu’il y eut un tiers.

J’ai toujours regardé le fait d’écouter aux portes comme une preuve de bassesse, en quelque circonstance que ce fût, et si curieux que je fusse de savoir ce qui se passait entre ces deux personnes, j’allais tousser ou indiquer ma présence par quelque autre signal, quand j’entendis quelques mots prononcés par Copperthorne, qui m’arrêtèrent brusquement et mirent toutes mes facultés en un état de désordre et d’horreur.

— On croira qu’il est mort d’apoplexie.

Tels furent les mots qui m’arrivèrent claire-