Page:Doyle - Résurrection de Sherlock Holmes.djvu/175

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dant, il se montrait avec son fils affectueux à sa manière.

— Les sympathies de l’enfant se portaient vers sa mère ?

— Oui.

— Il vous l’a dit ?

— Non.

— Le duc ?

— Oh ! cela non !

— Comment donc le savez-vous ?

— M. James Wilder, le secrétaire du duc, que je connais un peu, m’a fait quelques confidences sur l’état d’esprit de lord Saltire.

— Je comprends. À propos, cette dernière lettre du duc, l’a-t-on trouvée dans la chambre de l’enfant après son départ ?

— Non, il l’avait emportée avec lui. Mais je crois bien, monsieur Holmes, qu’il est temps de nous mettre en route vers la gare d’Euston.

— Je vais commander une voiture. Dans un quart d’heure nous serons à votre disposition. Si vous envoyez une dépêche chez vous, laissez donc croire que les recherches marchent toujours du côté de Liverpool, où les imbéciles se