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« chef-d’œuvre » ; et derrière le lieutenant-colonel, le lieutenant de semaine avait fait la grimace.
Le Général s’était trouvé nez à nez avec son portrait.
Mais, bon homme, le Général s’était retourné en riant :
— A-t-il un coup de crayon tout de même, ce petit coquin-là ! avait-il déclaré. C’est que c’est moi ! C’est bien moi tout craché !
Un autre jour, ç’avait été le tour du lieutenant-colonel, puis des autres officiers, des adjudants, et jusqu’au caporal-tambour ; et tout le monde en riait. On avait baptisé Pierrot « le Rapin ».
S’il s’était contenté de ces inoffensives facéties, personne ne se fût plaint de lui ; mais Pierrot éprouvait le besoin constant de se livrer à des farces du