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Page:Drouot – Eurydice deux fois perdue, 1921.djvu/117

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bonheur ; c’est de regarder dans la maison du bonheur sans en chercher l’entrée.

* * *

Et la douleur court dans la chair comme une aiguille dans l’étoffe.

* * *

Déjà, déjà, c’est un petit livre ce cahier.

Il me suffit bien en effet qu’une très douce personne, de par le monde, lise ce livre et, l’ayant lu, rêve. D’autres peuvent l’ouvrir ; son faible intérêt, son manque d’aventures le leur feront bientôt fermer ; car, nous le répétons, voici des notes, des gémissements, point ou peu de m’amours, des cris encore : certes, en aucune façon, une petite histoire.

* * *

Reviens, reviens ; songes-tu à ce bonheur, l’un des plus inouïs, celui qu’on attend,