Page:Drumont - La France Juive édition populaire, Palmé 1885.djvu/107

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cœur de la chrétienne que la foi ne garde plus ; elle est préservée, justement par cette absence de tout idéal, qui est la caractéristique d’Israël.

Ici encore, il faut louer le respect dont les Juifs entourent une enfant de leur race, quelle que soit la voie qu’elle suive. Est-elle comédienne ? jamais le monde n’a rien contemplé d’aussi beau ; on se pâme, on s’évanouit, on crie d’admiration dès qu’elle paraît. Rentre-t-elle dans la vie normale ? toutes les portes lui sont ouvertes.

Qu’il s’agisse d’une actrice, d’un boursier, d’un écrivain, vous retrouverez toujours cette admirable solidarité qui est la vertu dominante de la race juive, qui explique, qui justifie, qui légitime presque son succès. Qu’une feuille immonde porte une accusation contre un catholique, tous les autres catholiques s’enfuient en faisant des gestes désespérés, en disant : Je ne le connais pas.

Sur le banc d’infamie, au pied de l’échafaud, les Juifs n’abandonnent pas les leurs et ne permettent pas qu’on insulte à ce sujet « la grande famille. » Ils ont pris eux-mêmes le bon parti pour couper court à toute investigation gênante : ils ont fait décider, par le gouvernement qu’ils dirigent, que dans les recensements on ne demanderait plus à personne le culte auquel il appartient.

Nous comprenons l’intérêt des Juifs à rester autant que possible à l’état vague, afin de pouvoir arguer de leur infériorité numérique, lorsque l’on prouve que dans toute insurrection, dans tout journal qui insulte les chrétiens, dans toute mauvaise affaire, il y a un Juif. Il nous sera permis néanmoins de dire qu’ils mentent impudemment dans cette circonstance comme dans beaucoup d’autres.