Page:Drumont - La France Juive édition populaire, Palmé 1885.djvu/109

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religion, — exemple que les chrétiens devraient bien imiter.

Par un phénomène que l’on a constaté cent fois au moyen âge et qui s’est affirmé de nouveau au moment du choléra, le Juif paraît jouir vis-à-vis des épidémies d’immunités particulières. Il semble qu’il y ait en lui une sorte de peste permanente, qui le garantit de la peste ordinaire ; il est son propre vaccin, et, en quelque manière, un antidote vivant. Le fléau recule quand il le sent !…

Le Juif, en effet, sent mauvais. Chez les plus huppés il y a une odeur, fetor judaïca, un relent, dirait Zola, qui indique la race et qui les aide à se reconnaître entre eux. « Tout Juif pue », a dit Victor Hugo, qui s’est éteint entouré de Juifs.

La névrose, telle est l’implacable maladie des Juifs, Chez ce peuple, longtemps persécuté, vivant toujours au milieu de transes perpétuelles et d’incessants complots, secoué ensuite par la fièvre de la spéculation, n’exerçant guère, en outre, que des professions où l’activité cérébrale est seule en jeu, le système nerveux a fini par s’altérer.

Soit ! que les Juifs malades du cerveau se fassent soigner ! Mais pourquoi troubler sans cesse, par le trouble de leur propre esprit, des peuples qui vivaient tranquilles et heureux, tant que la race d’Israël ne s’est pas mêlée activement à leur existence. Que ce soit Hertzen en Russie, Karl Marx ou Lassalle en Allemagne, on trouve toujours comme en France un Juif prêchant le communisme ou le socialisme, demandant qu’on partage le bien des anciens habitants, pendant que leurs coreligionnaires, arrivés nu-pieds, s’enrichissent et ne se montrent pas disposés à partager quoi que ce soit.