il disparaît, s’évanouit dans un brouillard, se terre dans un trou, où il rumine une nouvelle combinaison pour recommencer quelques siècles après.
L’intelligence du Sémite, si perspicace et si déliée, est, au fond, bornée ; il n’a ni la faculté de prévoir, ni celle de voir au delà de son nez recourbé sur la terre, ni le don de comprendre certaines petites nuances délicates comme des fleurs, et qui sont les seules choses en ce monde qui méritent que l’homme expose sa vie sans regret.
Les défauts du Sémite expliquent que l’antagonisme naturel qui existe entre l’Aryen et lui, se perpétue à travers les siècles.
Si vous voulez comprendre l’histoire du Moyen Age, regardez ce qui se passe chez nous.
La France, grâce aux principes de 89 habilement exploités par les Juifs, tombait en dissolution. Les Juifs avaient monopolisé toute la fortune publique, tout envahi, à part l’armée. Les représentants des vieilles familles, gentilshommes ou bourgeois, s’étaient divisés en deux classes : les uns se livraient au plaisir, avaient pour maîtresses des filles juives qui les corrompaient et les ruinaient, pour amis des marchands de chevaux ou des usuriers, juifs également, qui aidaient les filles ; les autres obéissaient à cette attraction de la race aryenne vers le Nirvana indou, le paradis d’Odin ; ils se désintéressaient presque du mouvement contemporain, ils se perdaient dans l’extase, ils n’avaient presque plus pied dans la vie réelle.
Si les Sémites avaient eu quelques années de patience, ils touchaient au but. Un des rares hommes vraiment sages qu’ils comptent parmi eux, un disciple de Philon, un représentant de l’école juive d’Alexandrie, Jules Simon, leur disait bien ce qu’il fallait faire : occu-