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la france juive

Tu gouverneras, disent les Psaumes de David (ps.2), tu gouverneras les autres peuples que tu soumettras avec une verge de fer, tu les briseras comme le potier fait un vase.

Il consumera peu à peu les nations devant vous par parties, dit le Deutéronome, car vous ne pourriez les exterminer toutes ensemble, de peur que les bêtes de la terre ne se multiplient trop.

Il vous livrera leurs rois entre vos mains. Vous détruirez jusqu’à leur nom. Rien ne pourra vous résister.

Contre le chrétien, le gentil, le goy (au singulier goy, au pluriel goym), tous les moyens sont bons.

Le Talmud contient, sous ce rapport, des assertions que nos députés si chatouilleux en théologie se garderaient bien de porter à la tribune sous peine de se voir fermer au nez les guichets des banques juives où ils émargent.

On peut et on doit tuer le meilleur des goym.

L’argent des goym est dévolu au Juif ; donc il est permis de les voler et de les tromper[1].

L’évolution sociale du Sémite elle même est absolument différente de la nôtre. Le type de la famille aryenne dans l’état de civilisation est la gens romaine qui devint la maison féodale. Pendant de longues générations la force vitale, le génie s’économisent, puis l’arbre dont les racines plongent dans le sol porte au sommet un homme illustre qui est comme le résumé des qualités de tous les siens. L’être prédestiné met un siècle parfois à se développer, mais de l’extraction la plus humble sort une de ces figures complètes, charmantes et vaillantes, héroïques et lettrées, comme notre histoire en compte tant.

Dans la race sémitique les choses se passent autrement.

  1. Citations du Talmud reproduites par la Revue des Études juives.