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Page:Drumont - La France juive, tome second, 3eme édition, 1886.djvu/315

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LIVRE SIXIÈME


LA PERSÉCUTION JUIVE


Vous concluez qu’on a eu tort de fusiller les pauvres calotins en 1871. Nous sommes d’un avis contraire. Nous estimons même qu’on a usé de trop de ménagements vis-à-vis d’eux. Ils ne l’avaient pas volé.
Eugène Mayer (Lanterne)



I


LES FRANCS-MAÇONS


La guerre aux catholiques. — Les droits de la pensée libre. — Caractère spécial de la persécution actuelle. — Origine juive de la franc-Maçonnerie. — Une allégorie transparente. — Le Temple de Salomon. — La Franc-Maçonnerie d’adoption. — Des couplet folichons. — Judith. — Les Fils de la Veuve. — Un financier persécuteur. — Cousin, président du Suprême Conseil. — L’homme de paille des Rothschild. — Faiblesse coupable de certains catholiques. — Comment se recrute la Maçonnerie. — Le signe de détresse. — Tirard et la conversion.— Les légèretés d’un Lowton. — Les mines d’or de l’Uruguay. — Un Tuileur de premier ordre. — Un enterrement maçonnique. — Guillot ou le Sage de la Grèce. — Un coup de maillet de Vénérable. — Les vertus du maire de Brest. — Un ministre de commerce agréable. — La Maçonnerie dans les prisons. — Un adorateur du soleil.