Page:Drumont - Les Juifs contre la France.djvu/38

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ser autrement serait tomber dans la manie ordinaire aux Français qui se trouvent si aimables qu’ils s’imaginent que tout le monde doit les aimer.


Les Juifs avaient jadis une nationalité, ils l’ont perdue par leurs divisions et leur manque absolu de tout instinct de hiérarchie et d’ordre. Grâce à leur génie de conspirateurs et de trafiquants, ils se sont reconstitué un Pouvoir d’argent qui est formidable, non point seulement par la force propre que possède l’argent, mais parce que les Juifs ont surbaissé ou détruit les autres Pouvoirs pour que le leur restât seul debout, parce qu’ils ont modelé, façonné, pétri une société où l’Argent est le véritable maître de tout.

Cette Puissance d’argent, comme toutes les puissances, s’inspire uniquement de ses propres intérêts ; elle se porte dans le sens qui lui paraît le plus profitable. Au moment de la Révolution, elle a été pour nous ; elle a appuyé ensuite Bonaparte ; en 1815, elle était nettement contre lui, et, au moment de Waterloo, elle a combattu avec Rothschild aussi énergiquement que Wellington.

Elle était pour le second Empire, au début, et elle était contre lui à la fin. Elle travaillait pour l’Allemagne, elle subventionnait les