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Page:Drumont - Les Juifs contre la France.djvu/41

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meurs de la Presse, tous les non lieu, tous les véreux et tous les tarés du Panama et des Chemins de fer du Sud. Vous verrez après cela ce qu’il restera de cette armée.

« Tous les jours vous pourrez lire dans les journaux, en caractères énormes, qu’il faut envoyer au bagne le général Mercier qui a poussé l’audace jusqu’à faire arrêter un Juif infâme qui avait livré les secrets militaires de la France à l’Allemagne. Quant à Boisdeffre, celui qu’on croyait devoir jouer le rôle de de Moltke, le grand chef de l’état-major, le général qui a mis son nom au bas de la convention militaire franco-russe, il disparaîtra piteusement sans même essayer de se défendre devant une poignée de misérables qui auraient tous été rejoindre Baïhaut à Mazas si Loubet n’avait pas commis une véritable forfaiture en cachant la liste des Panamistes à la justice. Pour ce fait, d’ailleurs, Loubet fut flétri à l’unanimité par la Chambre avant d’être acclamé par elle après avoir été hué à Auteuil par le peuple de Paris. »

Les Juifs ont fait ce qu’ils avaient annoncé, et il faut reconnaître qu’ils ont procédé à cette destruction morale de l’armée française avec une virtuosité sans égale.


Ceci vous explique que nos rivaux, nos alliés ou les alliés que nous aurions pu avoir, aient