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éparses, rétabli les passages supprimés par des prédécesseurs timorés. J’ai enfin, sur votre plan, essayé de donner cette édition critique et définitive que vous avez demandée, au nôm du public délicat et lettré. A lui de dire si j’ai satisfait tous les désirs, comblé toutes les lacunes, réalisé enfin complétement le type que vous aviez tracé. A vous, mon cher et illustre Maitre, de daigner agréer l’hommage de ce travail, inspiré et éclairé par w vous, et dont l’offrande vous reviendrait naturellement, quand bien même elle ne serait pas dictée par l’admiration et t’afiection, puisqu’il s’agit ici d’une des gtoires de la conversation, de l’esprit et du goût.
M. DE LESCURE.
