interrogeait le vol des éperviers passant au-dessus
des falaises de la Saône. Hab. L. Grange
ne l’indique pas. Elle ne parle pas non plus
de la thérapeutique du disciple de Vintras,
se bornant à le vanter comme « très fort
kabbaliste et théologien ». Certaines phrases
de son étude laissent entendre, toutefois,
que les agissements de Boullan avaient donné
prise à la calomnie. « Je ne croirai jamais
rien, dit-elle, de ce que les langues vipériennes
de ses ennemis ont dévoilé, n’ayant
vu et entendu que du bien spirituel en
tout ceci. » Tout ceci, c’est à dire les cérémonies
dont elle fut témoin, et qui sont
les mêmes que décrit Huysmans, soit dans
Là-Bas, soit dans ses lettres. Vintras avait
fondé « le Marisiaque du Carmel, en avait
établi le sacrifice dit Sacrifice Provictimal de
Marie. Dans ce sacrifice qu’Elie a institué