Aller au contenu

Page:Du Saussay - Perverse, 1896.djvu/319

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
313
PERVERSE

fleurir ses lèvres ; et les oiseaux chantaient comme elle, et venaient coquettement se mirer dans le doux miroir de ses yeux veloutés de noir.

FIN