Je l’appelle mol, et comme fluide.
Yo, c’est quand en appuyant médiocrement on le sent, mais d’une manière qui est peu marquée, et qui fait à peu près la sensation d’une étoffe usée qu’on toucherait, et qu’appuyant un peu plus ferme, on ne le sent plus.
Tchang, c’est quand on le sent comme un bâton, ou le manche d’une lance.
Je l’appelle long ; c’est le sens de la lettre.
Toan, c’est quand on le sent comme un point presque indivisible.
Je l’appelle court, c’est le sens de la lettre.
Hiu, c’est toutes les fois que posant amplement et légèrement le doigt, on ne découvre point le pouls.
La lettre hiu signifie vide ; je le nomme ainsi.
Tsou, c’est quand on le sent serré, et passant avec peine, surtout au carpe.
Kié, c’est quand étant d’ailleurs un peu lent, on trouve qu’il semble comme s’arrêter quelquefois.
Je le nomme embarrassé.