Dans un bouillon d’oignons, il faut mettre une centaine de pilules de thé la tcha réduit en poudre. La rhubarbe est un remède violent. Dans ces sortes de maladies, quand on emploie des remèdes violents, de cent malades, il n’y en a pas un qui s’en trouve bien.
Dans cinq petites tasses de thé, mettez-y deux petites tasses de vinaigre, et faites boire cette liqueur au malade.
Prenez du thé fin, nommé ya tcha, et de l’alun en égale quantité : broyez-les ensemble, et faites-les avaler avec de l’eau froide.
Il faut brûler du thé dans la chambre à toute heure, et y conserver la fumée.
Prenez du thé en bourgeon, du tchi tse[1], une once de chaque sorte : faites-les bouillir ensemble, et donnez-en une grande tasse à boire au malade. Ce remède aide à mettre dehors les phlegmes invétérés.
Prenez un dixième d’once de thé en poudre, et faites-le bouillir dans de l’eau. Mêlez-y un dixième de gingembre en poudre, et donnez-le au malade, aussitôt il se trouvera guéri.
Prenez une grande tasse de thé avec un peu de sucre candi. Exposez
- ↑ Espèce d’amande.