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DE PARAMARTA.
Le gourou s’adressant, à son tour, au conducteur du bœuf, lui dit : Je n’ai plus besoin de tes services, et je ne veux pas en ma compagnie d’un homme qui m’expose à d’aussi injustes querelles : ainsi tu peux t’en aller avec ton vieux bœuf, et moi je continuerai ma route à pied et à petites journées.
S’étant ensuite tourné vers l’arbitre, il le remercia d’avoir terminé la querelle avec équité et à son avantage, et lui ayant donné son assirvahdam (bénédiction), il le renvoya.
FIN DE L’AVENTURE TROISIÈME.