rienzé, Sareféré, apprirent de Dienné la construction des orands bateaux. C’est pour cela que de tout temps on leur a donné le nom de « barques de Dienné ». De semblables coches d’eau s’organisèrent sur tout le cours du fleuve. Peu à peu un mouvement commercial des plus actifs se dessina à travers les dédales du Niger. Mais, dès l’origine Dienné en fut là métropole, ayant la première disposé de moyens qui furent longtemps au-dessus des conceptions des nègres environnants.
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Plus tard, elle garda cette suprématie, n’ayant jamais eu à subir un cataclysme décisif, n’ayant Jamais été détruite à travers les siècles.
Aidée de ses navires nombreux, elle répandit ses mœurs plus policées, ses progrès, son architecture, toutes ses prémices de civilisation, à travers la vallée occidentale du