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Page:Duboscq - La Chine en face des puissances, 1926.pdf/107

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tocole, mais pour examiner avec elle et à sa demande, en vue d’une revision possible, les conditions qu’elles lui avaient autrefois imposées[1] ?

Ceux qui nient qu’il y ait déjà là un résultat d’acquis, qui se refusent à y voir un événement dont on ne peut quant à présent deviner les conséquences et encore moins les peser, ceux-là vivent dans l’absolu et s’y complaisent. Les Chinois, eux, se contentent du relatif et marquent les points.

  1. L’érection d’une délégation apostolique en Chine, en 1922, qui paraît répondre provisoirement à la demande d’une nonciature adressée à plusieurs reprises au Vatican par le gouvernement de Pékin, est évidemment considérée par les Chinois comme un gain réalisé sur la France en tant que protectrice des catholiques.