Page:Ducoté - Le Chemin des ombres heureuses, 1899.djvu/14

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

— Comment louerait-on mieux les Dieux,
répétait-il, qu’en se montrant fort et joyeux !
Je les honore dans leurs œuvres ;
le plus beau temple est une femme,
la meilleure offrande un baiser.
Je place mon culte en mes actes
et je ne lève pas un doigt sans adorer.

— 14 —