Page:Ducoté - Le Chemin des ombres heureuses, 1899.djvu/64

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

l’espoir qui encourage et la foi qui console,
se les interprétait au mieux de son désir.
Quand certains m’appelaient artisan du mensonge,
indifférent je laissais dire.
Si, la sachant, j’avais crié la vérité,
on m’aurait bientôt mis un pavé sur la langue.

— 64 —