tecteur le comte d’Anjou, et malgré Taïqpui de son tuteur le vicomte de Thouars qui «e faisait appeler comte de NaaieSy lodieaël fut foreé de qhao§er de miutve ^ de d^ Tenir le vassal de Geoffroi, qui. non content de cette marque de soumission le fit bientôt assassiner pendant qu’il se rendait à sa cour.
AvsAt son défUA pour Rome, où l’a^ielait le vefMiif* tir ^ Geofiroi confia le gouTernement du duché à sa femva/^ et à son firère, levèque de Rennes , Théobaldi qui suçait de^is l’an 990^. .GeofiSçoi,, en retenant de Rome^ ti^niva la mpit qu’il avait infligée à sa yictime. Sop corps fut transporté à Rennes et inhumé dans l’église de l’abbaye Saint^ekône. C’était le Saint4)eBis des prind» bretons. Ce fut à cette époque de la mort de Geoffroi que les hs^ bitanu de. Rennes,. qui se créaient déjà une sorte de bo^r*^ geoisie, aeco^rdèrent aux dbanoines du chapitre Saint^^enre un droit de bou^eillage ou de J4iste Suiat^Pèref selon le lanpge du ten^» Ce droit consistait à leveir un .poft.sJu» cjbaqi^ tonneau dans la ville et banfieue* C’est la plus vieille preuve écrite qui nous soit restée de l’existmce de la cathédni)^ (4<M»8).
GeofFroi mott, son fils Al^in Y , quoi^pi’enfant, lui sue* cédi^ dans les demi comtés de Rennes et de Yaiines , avec la couio^ne. div :ale, sous la tutelle de sa m^ Havoise» (i08Z.) A SM( retour d’une eiifiédition dans le Maine, comme. aUié du comte di^ Mians, il épousa à Rennes la fiUe dvb comte^ de Chartres, Berthe, qu’Alain Cagnan^ coBote de Comouaitles^. avait enlevée pour venger son prince du refus, qu’il avait épieoM^é. La cérémonie se fit avec une grande pompe ; le peuple eut des réjouissances et les seigneurs de riches présents.
Le» siège épisoopal de Rennes qui , après la mort de Théobald, avait été oççtq^ par son fils Gautier en 4042, l’était maintenant par Warinus ou Guarinus,
Après une horrible famine qui dura trois ans en Ere*