Page:Dufay - Eugène Hugo, sa vie, sa folie, ses œuvres, 1924.djvu/136

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Buvons, rions, chantons, soyons des fous heureux !
N’attendons pas, amis, que la pâle vieillesse
Vienne, ridant nos fronts joyeux.
Nous condamner à la sagesse.

Pour moi, toujours fidèle au doux dieu des chansons.
Je veux de la mort même égayer l’arrivée.
Et parer en riant de mes derniers festons
Sa faux sur ma tête levée.

E. Hugo[1]
  1. Conservateur littéraire, tome Ier, 3e livraison, pp. 84-75.