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Page:Dufrénoy - La Femme Auteur, ou les Inconvéniens de la célébrité, 1812, tome 2.djvu/98

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sieur, demanda la marquise. — Je voudrais ne plus les quitter. — Elles vous font du bien ? — Je commence à croire qu’elles sont merveilleuses. — Mon médecin me les a beaucoup vantées. — Est-ce pour une affection nerveuse que vous êtes venue les prendre ? — Précisément. — Dans ce cas, les promenades à cheval sont utiles : si vous vouliez en essayer, j’ai une jument très-docile dont je vous prierais de disposer. — Mille gråces, le cheval me fait peur ; je ne suis pas une Amazone. — Si vous aimez mieux courir en wiski, j’en ai un à vos ordres. — Je préfère me promener à pied.

Je ne suis pas heureux dans mes offres, je n’essuie que des refus. — On dit qu’il y eut hier