Page:Dugas - Psyché au cinéma, 1916.djvu/24

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ainsi qu’on le fait à des ombres, à des désirs irréalisables, à l’étreinte d’un front, à des jouets sublimes qui trompent, mais dans le rêve des idées et des mots. Souffrant toujours de quelque blessure qui monte le long de ses nerfs, il adore se sentir délicieusement malade au sein de l’ordre trouvé qu’il va connaître et, peut-être…, troubler.

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