Page:Duhamel - La Vie des martyrs.djvu/145

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au faubourg de G… Trois heures après, nous recommencions, à quelque distance, la même existence et le même labeur, et cela pour des semaines encore…

Ce fut ainsi jusqu’au jour où, emportés à notre tour par les automobiles de la Grand’Route, nous fûmes déposés au bord d’une belle rivière, dans un hameau où il y avait des arbres en fleurs, et où nous fûmes réveillés, le lendemain matin, par le son des cloches et la voix des femmes…