Page:Dujardin - Poésies, 1913.djvu/162

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Tu regard’ les femmes blanches,
Aux yeux bleus, aux cheveux lisses ?
Il regard’ les voiles blanches
Qui loin sur les vagues glissent…
— Loulou, ma bien-aimée,
Noire Loulou, Loulou, ma pensée !

Et la chanson dolente
Passe calme et berçante,
La bonne chanson,
La douce chanson…