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Et puis, tout à l’heure, vos doigts
Ouvriront l’ombrelle de soie,
Et l’éclat brûlant du soleil
Se fera doux et souriant à votre teint vermeil…
Prenez votre ombrelle,
jeune pastourelle.
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Mais, quand sur les terrasses
S’arrêteront vos promenades lasses.
Vous laisserez sur vos lèvres muettes
Pendre et flotter votre claire voilette,
Et le voyageur
Puisera mieux à vos yeux sans rougeur
Un peu d’azur dont éclairer son front songeur.
Étoile,
Gardez votre voile.