Page:Dujardin - Poésies, 1913.djvu/25

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petit coin obscur et mesquin que mon rêve a transformé ! ô paysage infime et colossal, je te salue…

À ce moment la servante s’approcha de nous, et, dans sa bonté si absolument simple, elle disait à Félicien :

— Vous allez prendre froid, remettez votre chapeau.