Page:Dumas - Filles, lorettes et courtisanes.djvu/113

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étendaient les bras vers quelque femme : elle les réveillait au milieu de ces rêves, et quand on n’est pas encore bien réveillé, j’en demande pardon à nos Èves de velours, de satin et de soie, une portière vive, pimpante et jeune, ressemble, à s’y tromper, à une femme.

De là à la Lorette, peut-être. Mais comme on le comprend bien, ce n’est qu’une supposition, une théorie, un système. Je ne voudrais pas avancer un fait si grave sans preuves, et j’avoue que j’en manque entièrement.

Bref, la Lorette est… Ne cherchons pas son origine, si son origine est destinée à rester plongée dans les ténèbres du doute ou dans les mystères de l’inconnu. Et tout en admirant la féconde