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timents, qui vient dépenser, au profil du plaisir, l’économie de son travail de toute la semaine : la fille l’agace, l’embauche, et l’emmène chez elle.
Le lendemain, l’ouvrier qui a l’habitude de se lever à cinq heures du matin se reveille à huit : il est trop tard pour se présenter chez son maître, et commencer sa journée.
D’ailleurs la fille le retient.
— Mais, dit l’ouvrier, il faut cependant que je gagne mes trois francs.
— En voilà cinq, dit la fille.
Si l’ouvrier accepte, il est perdu : car il verra qu’il peut gagner deux francs de plus par jour à ne rien faire, qu’à travailler douze heures.
Mais ce n’est pas le tout qu’un ou-