Page:Dumas - Filles, lorettes et courtisanes.djvu/58

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sorts destinés à rapprocher ou à éloigner le boxeur de son adversaire.

Tout au contraire, dans la savate, qui est la boxe de la France, le Parisien avait fait de la jambe et du pied les agents principaux, ne considérant les mains que comme armes défensives .

Il en résulte que l’Anglais perd toute la ressource qu’il peut tirer des pieds, tandis que le Français perdait toute l’aide qu’il pouvait espérer des mains.

Charles Lacour rêva cette grande entreprise, cette splendide utopie, ce suprême perfectionnement de fondre ensemble la boxe et la savate.

Il partit pour l’Angleterre, et sans leur dire qui il était, il prit, comme un écolier ordinaire, des leçons de Swift et