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Page:Dumas - La Dernière Année de Marie Dorval, 1855.djvu/107

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La brochure, qui sera mise en vente aujourd’hui ou demain, est cotée cinquante centimes. Mais chacun est libre de la payer ce qu’il voudra.

C’est donc au magasin de la Librairie Nouvelle, chez Jaccottet et Bourdilliat, au coin du boulevard et de la rue de Grammont, que je vous renvoie. Monsieur, et avec vous tous ceux qui n’ont point oublié celle qui fut pour moi plus qu’une grande artiste, celle qui fut une amie.

Faites donc appel, de votre côté, comme je fais du mien, Monsieur, et que les bons cœurs nous répondent.

Veuillez agréer, Monsieur, l’assurance de mes sentiments les plus distingués.

Alex. Dumas.


P. S. Les personnes qui ont versé des fonds, soit au bureau du Mousquetaire, soit chez moi, soit à la Librairie Nouvelle, peuvent prendre chez MM. Jaccottet et Bourdilliat autant de brochures que la somme de 50 centimes se trouvera répétée de fois dans leur offrande.

Nous rappelons une seconde fois à nos lecteurs que MM. Jaccottet et Bourdilliat ont refusé toute commission dans cette vente.