Page:Dumas - La salle d'armes 1 Pauline, Dumont, 1838.djvu/34

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


II


— Tu sais, me dit Alfred, que j’étudiais la peinture lorsque mon brave homme d’oncle mourut et nous laissa à ma sœur et à moi chacun trente mille livres de rente.

Je m’inclinai en signe d’adhésion à ce que me disait Alfred, et de respect pour l’ombre