Page:Dumas - La salle d'armes 1 Pauline, Dumont, 1838.djvu/52

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III


L’orage était apaisé, et, quoique le ciel fût toujours chargé de nuages noirs, de temps en temps, dans leur intervalle, la lune parvenait à glisser un de ses rayons. Pendant un de ces momens de clarté rapide que l’obscurité venait bientôt éteindre, je détournai mes regards de cette porte que je