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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/113

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

tuée, Jeanne, n’est-ce pas ? et qu’au lieu de me sauver, j’ai couru chez M. le maire, pour me dénoncer moi-même. Est-ce vrai, monsieur le maire, est-ce vrai ? répondez.

— Oui, Jacquemin, répondit M. Ledru d’un ton de parfaite bonté. — Oui, c’est vrai.

— Examinez la tête, docteur, dit le commissaire de police.

— Quand je serai parti, Monsieur Robert, quand je serai parti ! s’écria Jacquemin.

— N’as-tu pas peur qu’elle te parle en-