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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/133

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

des rois à Saint-Denis, et il avait pris dans chaque tombeau ce qui lui avait plu.

M. Ledru me donna quelques instants pour satisfaire ma curiosité ; puis, voyant que j’avais à peu près passé en revue toutes ses étiquettes :

— Allons, me dit-il, c’est assez nous occuper des morts, passons un peu aux vivants.

Et il m’emmena près d’une des fenêtres par lesquelles, je l’ai dit, la vue plongeait dans le jardin.

— Vous avez là un charmant jardin, lui dis-je.