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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/14

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À M. ***.


« Mon cher ami,

Vous m’avez dit souvent, — au milieu de ces soirées, devenues trop rares, où chacun bavarde à loisir, ou disant le rêve de son cœur, ou suivant le caprice de son esprit, ou gaspillant le trésor de ses souvenirs, — vous m’avez dit souvent