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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/155

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

— Madame, lui dis-je.

Elle tressaillit, se retourna, me regarda avec étonnement, comme fait quelqu’un qui sort d’un rêve et qui rappelle ses idées.

Ses grands yeux noirs fixés sur moi, — avec ces cheveux blonds que j’ai décrits, elle avait les sourcils et les yeux noirs ; — ses grands yeux noirs, fixés sur moi, avaient une expression étrange.

Pendant quelques secondes, nous demeurâmes sans nous parler, — elle me regardant, moi l’examinant.

C’était une femme de trente-deux à