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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/175

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

du doigt, j’avais touché sa moelle épinière. »

— Haller, soit ; — mais Haller a pu se tromper.

— Il s’est trompé, je le veux bien. Passons à un autre. — Weycard, Arts philosophiques, p. 221, dit :

« J’ai vu se mouvoir les lèvres d’un homme dont la tête était abattue. »

— Bon ; mais de se mouvoir à parler…

— Attendez, nous y arrivons. — Voici Sommering ; ses œuvres sont là, et vous pouvez chercher. Sommering dit : « Plusieurs docteurs, mes confrères, m’ont assuré avoir vu une tête séparée du corps