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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/178

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

je me suis évanoui quand cette tête a parlé, quand ces yeux mourants se sont fixés sur les miens ?

Le dialogue devenait de plus en plus intéressant, la situation de plus en plus dramatique.

— Voyons, Ledru, du courage ? dit Alliette, et contez-nous cela.

— Contez-nous cela, mon ami, dit l’abbé Moulle.

— Contez, dit le chevalier Lenoir.

— Monsieur… murmura la femme pâle.