Aller au contenu

Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/213

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
200
LES MILLE ET UN FANTÔMES.

— Moi, je n’avoue rien.

— Voyons, dites-moi au moins votre nom ?

— Solange.

— Vous savez bien que ce nom, que je vous ai donné à tout hasard, n’est pas le vôtre.

— N’importe ! je l’aime et je le garde… pour vous, du moins.

— Quel besoin avez-vous de le garder pour moi, si je ne dois pas vous revoir ?

— Je ne dis pas cela. Je dis seulement