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Page:Dumas - Mille et un fantômes, 1849, tome I.djvu/226

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LES MILLE ET UN FANTÔMES.

la vie hier, et que vous lui sauveriez peut-être la vie demain.

— Demain, — oui, justement, demain, s’il veut, je lui sauve la vie.

— Comment cela ? dites, voyons, parlez. Quelle admirable rencontre aurais-je faite si tout cela réussissait !

— Seulement… dis-je en hésitant.

— Eh bien ?

— Vous ne pourrez point partir avec lui.

— Quant à cela, ne vous ai-je point dit que ma résolution était prise ?